De l’ostracisme à l’égard des « littéraires », chapître 2
Aujourd’hui on parle partout, dans la communauté des communicants, des « contenus ». Autrefois, on parlait du « fond » , ce qui dénotait une certaine conscience de son importance. Ce terme de « contenus » est pour le moins minimaliste, reconnaissons-le, puisqu’il ne s’agit rien moins que du sens. Cette définition minimaliste reflète dans le domaine de la communication la prédilection pour la « forme », il est vrai beaucoup plus suggestive et excitante que le contenu….Surtout quand forme est au pluriel. Reste que cette dichotomie simpliste…